La surprise

Catégories : GAYS bondage SM sodom, fist club
Ce récit est la suite de : Dans les ruines hitlériennes
il y a 5 ans

Dans la semaine suivant ma rencontre dans les ruines hitlériennes, il a fait vraiment trop froid pour rester longtemps nu dehors. Quand la température s’est radoucie, j’ai convenu avec « mon » couple de vététistes un nouveau rendez-vous, très excité à l’idée de m’exhiber à poil devant eux, de me faire enculer, fister, fesser et pratiquer toute autre activité décidée en commun. La première fois, ils m’avaient promis une surprise ; j’avais très envie de savoir de quoi il s’agissait

À l’heure dite, j’étais depuis un long moment à poil dans une pièce sans toit et aux murs couverts de tags, à genoux, cuisses et fesses bien écartées, la tête au niveau du sol, pour offrir aux visiteurs mon cul bien relevé, position obscène destinée à les exciter ; avec quelques accessoires posés à côté de moi

En entendant des voix, je me suis bien enduit le fion de vaseline, j’ai levé le cul encore plus haut, écartant les fesses encore davantage. Des moteurs de motos ronflant sur le chemin, rien d’étonnant, la forêt voisine sert de terrain de manœuvre à un petit groupe de passionnés de trial. Mais les moteurs s’arrêtent, des voix se mêlent à celles de mes vététistes, je les entends rire, entrer dans les ruines, enfiler le couloir au bout duquel je me trouve.

C’est donc ça, la surprise, deux motards que la vue de mon cul ne surprend pas, ils étaient prévenus. À peine le temps de respirer, une bite se plante au plus profond de moi, une combinaison plaque son cuir contre mes fesses, c’est bon. Arrêt du ramonage après deux minutes, la bite sortie de mon cul se présente devant moi, je l’embouche ; j’avais dit aux vététistes combien j’aime sucer les bites, les plugs et les mains sortant de mon cul, l’information a circulé. Pendant ce temps, une deuxième bite m’investit, encore du cuir sur mes fesses, la nouvelle bite au fond de ma gorge, je suis comblé.

Tandis que son compagnon m’encule à son tour la femme, qui a gardé le haut mais enlevé le bas, me présente ses admirables fesses que j’écarte pour darder longuement ma langue au fond de son bel anus en entonnoir comme je les aime.

En même temps, je sens qu’on me dilate le fion, déjà bien préparé ; les commentaires m’apprennent que j’ai une main au fond des entrailles, c’est bon. C’est encore meilleur quand je me sens hyper dilaté ; mon fisteur essayait de m’investir à deux mains, j’ai quand même avalé huit doigts.

Une lanière a claqué sur mes fesses, une fois, dix fois, j’étais tellement excité que j’en redemandais ; au bout de vingt fois les fouetteurs ont eu envie d’autre chose. À peine le temps de me relever, une fulgurante douleur m’a fait rouler par terre, me tenant les couilles que l’un des motards m’avaient écrasées d’un violent coup de botte ; je n’ai pas apprécié, personne n’a insisté. Pour me réconforter, la femme s’est mise à poil, façon de parler car son minou était bien lisse, m’a gentiment branlé avec un doigt dans mon cul, puis j’ai eu droit à un rodage culier en règle avec les trois gros plugs que j’avais apporté.

Dix minutes plus tard tout le monde était à poil, la vététiste suçait des bites en flattant des couilles, se faisait baiser en levrette par son homme, les motards s’enculaient. Je leur ai proposé de transformer mes fesses en pelotes d’épingles ― j’en avais apporté trois boîtes de cent ― mais ils ont trouvé que cela prendrait trop de temps. Ce sera pour une autre fois.

Ils ont pris des photos avec leurs téléphones mais n’ont pas voulu me les envoyer, dommage.

Revenu comme j’étais venu, à poil, à ma voiture garée à 500 mètres, je me suis empalé sur le levier de vitesses ; mon cul en voulait encore.

Cette ressource n'a pas encore été commentée.
Publicité en cours de chargement